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Kezia : A flower among the dust feat. Nicola Peltz
Kezia Levy
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Réscapés
Réscapés
Age : 22
Emploi : étudiait l'architecture
Messages : 300
Points : 1905
Kezia Levy
Jeu 11 Oct - 22:28
Kezia Levy
ft. Nicola Peltz

Âge : 22 ans
Nationalité : Australienne
études : j'étudiais l'architecture
Taille, poids : 1m70, 58kg
Situation familiale & orientation sexuelle : célibataire, rien de sérieux depuis. Il faut dire qu'il n'y a pas vraiment de mecs qui me plaisent ici... sauf peut être un...
Compétences : dessin, bases architecture, guitare, piano, saxo, 1iers secours, danse...
Groupe : The Rover
Caractère

Du genre à ne pas toujours savoir ce que je veux,mais certaine de ce que je ne veux pas ▲ Je suis assez capricieuse, têtue et rancunière, conséquence ? je suis franche et ne m’encombre pas. Défaut ou qualité ? Je suppose que ça dépend de ce que vous voulez entendre. Bien sur je peux mentir pour manipuler ou me venger !▲ L'Amour me fait peur, et lorsqu'un homme me plait j'ai tendance à lui faire croire l'inverse. Et pourtant je rêve encore du grand amour ! ▲ Je déteste que l'on puisse avoir une emprise sur moi, il faut que je garde le contrôle... ▲ J'adore le look des pin-up des années 50 ▲ Je suis très proche de mes frères, pourtant Harper me terrifie ▲ Je m'entends mieux avec les garçons qu'avec les filles ▲ Je joue de la guitare, du piano et du saxophone ▲ Je chante, sans pour autant être une Mariah Carey ▲ J'adore prendre des photos et dessiner ▲ Ain't no sunshine de Bill Whiters est ma chanson favorite ▲ Ma vie d'avant me manque et j'ai du mal à croire qu'un jour tout redeviendra comme avant...

Physique & santé

J'ai les oreilles percées, la langue aussi. J'ai un tatouage sur la nuque : une graphie carrée du Haï. Aujourd'hui, plus que jamais, il prend tout son sens. J'ai l'oreille absolue. Je porte des lunettes pour lire, je ne vois pas très bien de près.

Histoire

Est-ce que nos anciennes vies valent encore la peine d'être racontées ? Oui, pour l'Histoire. Si tant est que j'en fasse un jour partie.

Je suis née dans une famille aisée. Avant moi, Tobias. Et des parents qui n'ont pas beaucoup de temps pour nous alors ils me cèdent tous mes caprices à la condition que je sois studieuse. Cette condition me convenait pleinement vu que je m'épanouissais à l'école. J'adorais apprendre et comprendre ce qui m'entourait. J'étais une petite fille à la fois peste et attachante. Et loin d'être une nerd ou une geek. J'étais du genre à faire mes devoirs vite mais bien, pour sortir avec mes amies. Mes programmes favoris : shopping, cinéma, dessin, chant et musique. Qu'en était-il des garçons ? J'avais succès mais peu m'intéressaient. De plus je ne voulais pas être une fille facile et les lycéens ne sont pas du genre imaginatifs, alors je me lassais rapidement.
Enfin je suis allée à la fac. Le truc c'est que je ne savais pas quoi faire. J'avais envie d'essayer tellement de matières ! Inspirée par un père avocat de renommée, une mère directrice d'hôpital et grand chirurgien, un grand père dans l'humanitaire et tellement génial... Bon, rien à voir mais j'ai commencé des études d'architecture. J'ai quand même suivi une formation de premiers secours pour faire plaisir à maman et parce que c'est important.

Et puis, tout a changé.

Je ne vous ai pas dit mais j'ai eu un petit frère. Harper. Je l'adorais avec ses grosses boucles blondes. On lui aurait donné le bon dieu sans confession. Enfin, on dirait plus Yahwéh chez nous vu qu'on est juifs. Bref. L'expression est bien trouvée pour Harper car c'est loin d'être un ange. Il a toujours été... à part. Et je me suis rendue compte de sa dangerosité quelques semaines à peine avant que l'apocalypse nous tombe sur la tête. Je me demandais ce qu'il trafiquait avec ses copains, et je l'ai suivi. Ce que j'ai vu... j'en ai fait des cauchemars. Mais est-ce que je pouvais dénoncer mon petit frère ? J'ai voulu lui en parler, il est entré dans une rage folle. Il m'a fait peur. Non, il m'a terrorisée. J'ai fait croire à Tobias que j'avais été agressée. Est-ce aussi ma faute si le pauvre petit James a réussi à s'enfuir et si la contamination s'est propagée ?

C'était il y a trois ans. Je n'ai jamais été une grande croyante mais aujourd'hui je sais que tout n'est pas que légende. Les morts sont revenus à la vie, contaminant tous ceux qu'ils pouvaient mordre, les attirant dans leurs rangs. Avant qu'on ai pu se rendre compte de ce qu'il se passait vraiment, ils étaient partout ! Maman a été la première touchée, l'hôpital avait vite été mis en quarantaine mais ni le personnel ni les militaires n'étaient prêts. Elle nous a téléphonés un soir, en cachette, et nous a fait ses adieux. Le seul qui n'a pas pleuré c'est Harper. Le lendemain, les télécommunications étaient coupées. La ville s'est vite retrouvée sans dessus-dessous. Nous devions prendre un jet mais nous n'avons jamais pu nous rendre à l’aérodrome. Cherchant à fuir l'horreur, nous nous sommes alliés à d'autres survivants. Dont le père d'un des copains d'Harper et ses enfants. Mais où aller ? Papa proposa de garder notre cap prévu : Yulara. Le village touristique en plein désert que grand-père dirigeait, pour la faire courte. Il l'avait eu avant qu'on ne puisse plus passer d'appel, selon eux c'était le meilleur refuge. Si tant était qu'on puisse y arriver vivants !

Dans notre malheur nous avons eu de la chance. Papa est mort en route, comme tant d'autres. Nous devions être une vingtaine au départ, à peine dix à l'arrivée. Je n'avais pas dormi depuis des jours, perdu du poids, comme tout le monde je vivais un enfer. Il m'a fallut des jours et des jours une fois en sécurité pour m'en remettre. Heureusement qu'il me restait grand-père et mes frères. Oui, même Harper. Je lui en voulais mais je l'aimais trop pour le perdre.

Donc voilà, ça fait trois ans que nous survivons. Les morts-vivants se font moins nombreux mais ils sont toujours là. Mais je ne crois pas que ce soit eux le pire. Je pense plutôt à ces gens qui préfèrent vivre comme des sauvages, usent et abusent de violences gratuites ! Ils massacrent, pillent, violent, c'est pire que des malades qui ne savent plus qui ils sont ni ce qu'ils font. Oui, j'ai de la compassion pour les morts-vivants, et j'exècre les autres.
J'en ai peur aussi. Surtout depuis qu'ils ont renvoyés l'un des nôtres zombifié. On dit que c'est une déclaration de guerre. Grand-père dit que nous saurons faire face, mais comment ? Eux, ils sont sans pitié... Comme Harper.


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