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{10/02} I've walked for miles, my feet are hurting ft: Aria & Winona
Jacob Z. Kurt
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Jacob Z. Kurt
Sam 21 Déc - 21:15
Aria       Jacob       Winona


I've walked for miles, my feet are hurting


Plantons le contexte. Vous le connaissez déjà mais rappelons ce qu'il s'est passé : la terre a tremblé en Australie. Après que les morts soient revenus à la vie, grâce ou à cause d'un virus, ou d'un truc du genre, maintenant c'est le sol qui a tremblé et pas qu'un petit peu. Les gens, eux, survivants, se retrouvent pour certains à l'état de cadavres, de nourritures ambulant voir à crever de chaud sous un soleil de plomb.
C'est chouette non ? Quoi ? Vous n'aimeriez pas être à leur place ? Vous avez raison.... c'est glauque comme situation, on rêverait mieux.
Et en parlant de rêve, la vie de Jacob n'est plus du tout rose depuis qu'il a perdu ses compères de routes. Jacob c'est le beau brun là qui s'amuse à jeter des cailloux sur un macchabée. En fait il s'ennuie … oui , un grand gaillard comme lui cherche une occupation. À force d'observer le ciel vide de nuage, occupé juste par une grosse boule flamboyante orange aux reflets jaune, de se rendre compte que le sol craque à chacun de ses pas et que le bois s'effrite, il cherche maintenant à voir comment fonctionne un mort vivant. Alors lui est d'un coté d'une grande crevasse faite par le séisme, et de l'autre le corps en décomposition d'une femme qui n'en n'a plus l'air, il l'aguiche en prenant des pierres qu'il jette sur sa tête

Elle-Rrrooaaaaarrr

Oui … c'est le bruit buccal qu'elle fait, en tendant ses mains en avant pour essayé de l'atteindre, mais la brèche l'empêche d'avancer, comme si elle savait que le fait de faire un pas en avant la ferait tombé au plus bas de ce trou béant

-Aller Lola .. bouge un peu quoi .. tu m'veux ça s'voit dans tes yeux vitreux que tu veux m'choper, alors viens m'chercher ma beauté !

Elle- Rrrooooaaaaaaa

Excitée qu'elle est en accentuant ses bruits gutturaux. Ça se voit dans la gestuelle de son corps. Et le brun reprend une poignée de petites pierres et vise de nouveau la tête … tac .. tac … tac … et elle, elle rétorque -RoooarrrrrR- et lui ça l'amuse … mais à la longue, ce petit jeu n'a plus le but escompté, alors il soupire, se passe la main dans ses cheveux long et collant par la sueur, se tourne et se retourne pour trouver quelque chose de plus gros

-Adieu Lola ... j't'aimais bien mais y'avait pas d'avenir entre nous

Attrapant une plus grosse pierre, il la lève haut au dessus de sa tête, vise de nouveau celle de la femme putride et lance. Celle-ci atteint son but, lui fracasse le crâne et elle tombe en avant, pile où il voulait qu'elle soit. Heureux, le grand gaillard saute de joie, les bras en l'air et tourne en rond

-Ouais ! J'l'ai eu!!Youhouuuu !
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Winona Patterson
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Winona Patterson
Mer 25 Déc - 21:03
I've walked for miles...
Jacob, Aria & Winona

« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do.  »
La terre s'est rebellée. Je ne sais pas si c'est nous qu'elle a voulu aspirer ou les zombies, ou nous tous. Dame Nature en a peut-être marre que nous détruisions tout. Je crois que je la comprends. Assise sur un bout de terre ouverte, les jambes se balançant dans le vide, je me demande pourquoi moi je suis encore là. Johnny, quelle est la raison ? Est-ce que je dois changer l'ordre des choses ? Est-ce que j'ai un destin particulier ? Comme Zelda qui serait l'espoir d'une génération ? Je pars trop loin ? Je crois que je me suis cognée la tête quand tout a secoué.

C'est quoi ce bruit ? Je me suis arrêtée ici il y a une heure car je n'en pouvais plus. J'ai eu l'impression qu'il n'y avait personne de vivant à la ronde. On dirait que je me suis trompée. Je me relève et me laisse guider par la voix qui crie victoire. J'avance prudemment, sans faire de bruit. Cachée par un pan de mur qui tient encore, je l'observe. De quoi se réjouit-il ? Un qui a pété un câble ? Avec ce qu'on vit, rien d'étonnant. D'un coup il se retourne et nos regards se croisent. J'étouffe un hoquet et me cache derrière le mur comme une enfant prise en flag. Je mords la lèvre. Qu'est-ce que je fais ? Machinalement je triture le fil qui dépasse de mon mini short.
(c) DΛNDELION
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Aria Wilson
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Aria Wilson
Jeu 26 Déc - 1:21
I've walked for miles, my feet are hurting



feat. @Jacob Z. Kurt & @Winona Patterson




La vie est devenue une véritable course contre la montre. Tout ce qui se pose à notre vue n'est plus que désolation. Le genre de paysage que nous pourrions lire dans un livre tel que l'Enfer de Dante. Oui, c'est assez facile de comprendre ce qu'est le froid de l'enfer. Les êtres qui inondent ce monde autant vivants que macchabées ambulants ne sont plus que des montres. Les uns inconscients de leurs actes, car n'obéissant plus qu'à l'instinct le plus primaire qui soit, le besoin vital de manger et de se repaître de chair humaine et vivante de surcroît. Tandis que la seconde catégorie, bien consciente de ce qu'elle fait, obéisse à la règle du plus fort. L'entraide n'est plus qu'un mot, une utopie à peine accessible dans le cœur des hommes. Aria a su largement le comprendre après cette année à vivre dans le camp d'Emrys. User de son intelligence pour survivre sur cette terre. La jeune femme a su jouer de ses charmes au point de s'en dégoûter, attendant le moment propice pour s'enfuir et tenter de retrouver les siens.

L'espoir de leur survie réside toujours en elle. Plus fort que la mort. Ce sentiment ne la quittait plus une seule seconde. Et puis les Wilson font fuir la Faucheuse plutôt que de l'attirer. Enfin pour la plupart de ces membres. C'est comme si une sorte de règle tacite qui est naît au fil du temps entre la mort et ce bon vieux sang irlandais qui serpente les veines des Wilson. Prendre une part des membres pour en laisser d'autre. Juste assez pour pouvoir faire survivre ce sang. Jusqu'à présent, il est vrai qu'Aria a toujours été gardé et surveillé, que cela soit avant son enlèvement qu'après. Oh, bien sûr, la jeune femme connaît la survie et peut largement se défendre. Elle n'est pas une demoiselle en détresse et elle ne supporte aucunement ce rôle. Ce serait devoir un service à quelqu'un jusqu'à ce que la dette en soit remboursé. Et si Emrys lui avait enseigné quelque chose d'utile, c'était de ne jamais rien devoir à qui que ce soit. Les gens sont si aptes à abuser de ce privilège en ces temps chaotique.

Bien que ce fut atroce de couper toute liberté à Aria, elle a pris les bons côtés de sa captivité. Elle a appris certaines choses, en a développé d'autres. Au fond, son ex n'était pas aussi pourri qu'elle le pensait jusqu'à présent. Bien au contraire, à côté de ce groupe qui respectait la règle du plus fort, la pourriture s'y trouvait à chaque coin dans ce camp.

Soupirant tout en marchant, elle se retrouva à face à une crevasse, très certainement créé lors du grand tremblement de terre. Observant cet abîme sans fond, Aria se demandait ce qu'il pouvait bien y avoir en bas. L'Enfer. Un léger rire amer se laisse entendre tandis qu'en fasse des êtres morts depuis fort longtemps la regardaient grognant et tentant de l'atteindre sans y parvenir. Le plus téméraire avança jusqu'à tomber dans ce trou sans fond. Il n'a même pas crié comme quoi ce suicide le libère sans doute de sa condition de chose morbide qui ne peut plus penser et agir sainement. Seule, la faim manipule ces marcheurs, zombies, mordeurs... Qu'importe comment on les nomment, ils ne sont plus rien hormis peut-être un cauchemars qui ne connaît ni la fatigue ni l'abandon. C'est ainsi et cela ne changera pas de sitôt. Même si un vaccin est possible, Aria sait mieux que quiconque que les personnes encore saines pourraient être immunisées, mais pour ces zombies, il n'y aura jamais aucun retour en arrière possible.

Un cri de victoire fait légèrement sursauter la jeune femme qui longea la crevasse pour se diriger vers cette voix sortant presque de nul part. Il fallut quoi, cinq minutes pour y parvenir avant de faire face à un homme le regard rivé sur une jeune femme dissimulée derrière un mur. Croisant les bras, elle observe le spectacle sans dire un mot. << Je dérange peut-être un remix de la scène du balcon de Roméo et Juliette. >> Fit-elle pour marquer sa présence. Sa voix était plutôt calme, un brin moqueuse. La digne fille de son papy avec un humour bien particulier quand elle s'y met, bien que personne ne pouvait dépasser le savoir-faire du patriarche des Wilson. << Le cri de joie, c'était pour quoi. Rameuter d'autres zombies ou bien des pilleurs de grand chemin. >> Elle s'avance doucement, mais se stoppa pour garder toute même une certaine distance. << Vous devriez faire plus attention, Roméo. >> Elle tourne la tête vers la jeune femme cachée derrière un mur qui a dû retenir un bâtiment autrefois. << Est-ce que ça va mademoiselle ? >>




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Jacob Z. Kurt
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Jacob Z. Kurt
Sam 4 Jan - 16:53
Aria       Jacob       Winona


I've walked for miles, my feet are hurting


Vous le voyez le grand gaillard, là, sauter de joie, heureux comme un pape alors que le pays vie ses dernières heures ? Et bien lui il s'amuse d'un rien ... juste parce que la solitude le pèse de jour en jour. Avant, il avait des amusements, des sorties, des loisirs, des filles en veux-tu en voilà … et depuis que toute cette merde a commencé, depuis qu'il ère comme une âme en peine, il se morfond, comme tout un chacun. Doit-on lui en vouloir de se divertir juste un petit peu ? Bon, je le conçois, il y a d'autre façon de s'amuser mais à part une terre aride, éventrée, détruite que peut-on faire ? Hein ? Je vous le demande ! Et bien oui, pas grand chose.
Et puis cette femme était morte à la base, elle n'était juste que l'ombre d'elle même, une coquille vide dans un corps encore en mouvement guidé par une faim insatiable. Il l'a juste aidé a partir pour de bon. Il tourne et il se fige lorsqu'il tombe sur deux magnifiques et envoûtants yeux d'un bleu intense et profond. Il reste abasourdi par cette apparition venue de nul part. Depuis quand était-elle là ? Bonne question. Avait-elle vu assez de ce qu'il venait de faire pour en tirer ses propres conclusion ? Comment le savoir ? Il n'allait pas lui demander. Après tout, peut-être qu'elle en était une elle aussi. Jacob l'observe longuement, son corps fin, frêle, petite, jambe dénudées et fines, ses longs cheveux noirs … elle ne lui saute pas dessus pour le bouffer montre qu'elle n'est pas morte. Soulagement pour le brun qui n'a toujours pas dit un mot devant cette apparition qui a plutôt l'air perdue et surprise et perplexe sur ce qu'elle avait vue ...sûrement ..

-Heuuuu …

Commença à faire le gaillard pour trouver quoi dire et cherchant également une excuse, tout en se passant la main dans ses cheveux touffu, long et pour la plus part ne tenant plus dans l'élastique qui était censé les tenir en catogan

-Ils étaient au moins une dizaine et ..pfiu .. j'ai eu du mal à m'en sortir mais j'ai réussi à me débarrasser d'eux !

L'homme se penche alors vers le trou sans fond où est tombée Lola et cri assez fortement

-Vous m'aurez pas si facilement !

Oui bon il extrapole un peu la chose mais au fond, il y a peut-être une partie de vrai dans tout ça non ? Pour terminer sa phrase il sourit, bêtement, mais il sourit devant la jolie brune qui le fixe interloqué, sûrement, par le baratin foireux de ce brun. Car ne l'oublions pas, cette fille était là depuis il ne savait quand et elle avait peut-être assistée à la scène initiale.

<< Je dérange peut-être un remix de la scène du balcon de Roméo et Juliette. >>

Il se retourne avec un étonnement sans faille, et une nouvelle apparition, blonde cette fois, le surprend. Aussi jolie que la brune, Jacob lève les yeux au ciel, un regard rempli de gratitude vers un point invisible, un sourire de satisfaction sur les lèvres

-Presque ! Ça aurait pu aussi être le Titanic, avec Jack et Rose .. vu que le pays coule ...

Dit-il cette fois en posant son regard noir et sombre, intense et .. bref, passons .. donc il pose son regard sur la blonde et affiche un sourire en coin, l'oeil qui se ferme légèrement, un brin charmeur, charmant, tombeur …

<< Le cri de joie, c'était pour quoi. Rameuter d'autres zombies ou bien des pilleurs de grand chemin. >>

-Mmm rameuter les macchabées décharnés et odorant, c'est fait, les pilleurs de grand chemin … deux belles femmes qui me tombent du ciel c'est bien mieux.

<< Vous devriez faire plus attention, Roméo. >>

-Pfff attention à quoi ? Le danger est partout ... à moins que ce soit vous le danger


Un sourire moqueur étire de nouveaux ses jolies lèvres poilues, il tourne ensuite la tête vers la brune qui était spectatrice de cette joute verbale entre les deux protagonistes attendant de voir ce qu'elle avait à répondre.
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Winona Patterson
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Winona Patterson
Mer 15 Jan - 22:53
I've walked for miles...
Jacob, Aria & Winona

« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do.  »

Je ne sais pas quoi faire et je dois avoir l'air ridicule cachée derrière mon pan de mur. L'homme me parle, enfin, je crois. Il a tout de même l'air bien confus. Je me penche un peu pour l'observer encore. Je remarque ses longs cheveux. J'aime beaucoup quand Johnny les porte longs... Il me sourit. J'en suis incapable. Ce qui me confère certainement un air encore plus idiot. Heureusement que je n'ai pas la bouche ouverte.
Je sursaute quand une femme parle. Est-elle avec lui ? Je la regarde. Blonde, belle. Peut-être sa petite amie jalouse ? Ils plaisantent et il lui lance un regarde charmeur, digne d'un acteur. Elle ne semble pas broncher et le réprimande. Finalement je comprends qu'ils ne se connaissent pas. Elle le danger ? Oui, après tout, il n'y a pas que les mâles qui sont dangereux. Mon regard passe de l'un à l'autre. Je me décale lentement de ma pseudo cachette. Leurs regards se tournent vers moi, ce qui me gêne un peu. Ce qui me rassure c'est qu'on est tous dans le même état. Je rêve d'une vraie douche.
Je m'apprête à faire un pas vers eux quand une chose m'attrape la cheville et m'arrache un cri de surprise. Je n'avais rien vu, elle est quasi enfouie sous les décombres. Ne pas paniquer ! J'attrape une tige métallique qui sort d'un des bouts de mur pour me défendre. Viser la tête. J'en suis toujours autant dégoutée mais je le fais. Son emprise se relâche. Je respire un bon coup et me tourne à nouveau vers les deux inconnus.
Bonjour.
(c) DΛNDELION
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Aria Wilson
Aria Wilson
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Aria Wilson
Ven 31 Jan - 1:40
I've walked for miles, my feet are hurting



feat. @Jacob Z. Kurt & @Winona Patterson



Bras croisés sur sa poitrine, Aria se contente de regarder l'homme qui tentait de la séduire un peu vainement. Le commun des hommes, elle en a eu assez pour une bonne partie de sa vie. Elle n'avait que trop brûlé ses ailes jusqu'à présent, au point d'oublier son honneur et sa fierté. Trop de chose se sont produites durant la dernière année alors, non, elle ne faiblirait pas facilement devant un regard comme celui de l'homme qui jubile un peu trop fort et bouge comme si on avait mit du poil à gratter dans son caleçon. Arquant un sourcil, Aria l'observe. D'accord, il a du répondant, ce qui ne pouvait qu'amuser la jeune femme qui, cependant, resta impassible, mais ne pouvait empêcher une répartie de passer la frontière de ses lèvres.

-Presque ! Ça aurait pu aussi être le Titanic, avec Jack et Rose .. vu que le pays coule ...

<< Prend garde à ne pas finir comme Jack alors. >> Fit-elle simplement. Aucune menace, simplement une mise en garde déguisé pour lui signifier que jouer les idiots ne pouvaient rien amener de bon. Que ce soit les zombies ou les pilleurs, les deux se trouvaient être d'une grande dangerosité. Il n'avait pas l'air d'avoir croisé ce groupe d'humain cannibale qui a fait croire à un endroit où le danger semblait écarté. À cause d'eux, Aria avait dû fuir perdant de vu papy et Liam. Et pour quoi au final ? Finir comme la putain d'un chef d'un groupe de survie loin d'être le plus tendre du coin.

-Mmm rameuter les macchabées décharnés et odorant, c'est fait, les pilleurs de grand chemin … deux belles femmes qui me tombent du ciel c'est bien mieux.

Aria ne dit rien, mais ne peut s'empêcher à la réaction de papy s'il avait été à côté d'elle. Elle sourit à cette pensée et sans doute que cet homme prendra l'étirement de ses lèvres pour lui. Lourde erreur. C'est la pensée des siens qui la poussait de ne rien perdre en humanité, même si niveau social, elle était proche de la nullité. Reprenant une certaine contenance, elle le met encore en garde.

-Pfff attention à quoi ? Le danger est partout ... à moins que ce soit vous le danger

Elle passe une main dans sa longue chevelure blonde et se met à rire, cette fois-ci, véritablement amusée. << Ah, une irlandaise en balade, c'est toujours dangereux. >> Fit-elle avant de penser. * Surtout si c'est une Wilson. *

Elle observe l'homme puis finalement se tourne vers la petite brune caché derrière son mur complètement détruit avec le temps. La pauvre ne semblait pas à son aise et c'est un sentiment qu'Aria pouvait parfaitement comprendre. Soudainement, la vision du visage de Selene passe dans son esprit. Est-ce qu'elle va bien ? A-t-elle pu s'échapper et trouver un refuge quelque part ? Des questions qui hantent la jeune femme, mais elle priait à chaque seconde pour que ce soit le cas. À défaut d'avoir une croix autour du cou pour avoir un objet auquel se raccrocher, elle optait bien volontiers pour le collier de sa mamie que le patriarche des Wilson lui avait offert alors qu'Aria allait au plus mal. Jusqu'à présent, la jeune femme a pu y puiser toute la force et le courage qui lui ont été nécessaire pour tout subir sans même broncher. Celui qui plie ne se brise pas. C'était ce qu'elle s'était répété pour être sûre de se retrouver ici. En danger, mais parfaitement libre de mouvement.

Quand la brune se fige, Aria s'approche d'elle d'un pas plus rapide sentant que quelque chose n'allait pas et ce n'était pas à cause de Roméo ou d'elle-même. Non, c'était tout autre chose. La voir planter un zombie pu faire comprendre à Aria que celle-ci n'était pas autant sans défense que son physique ne le portait à croire.

<< On dirait que Juliette n'a pas besoin d'un Roméo. >> Fit-elle pour taquiner l'homme qui se trouvait à présent juste à côté d'elle. << Tout va bien ? T'es pas blessée au moins ? >> Elle ne voudrait pas qu'après cette démonstration, Aria soit obligé de la tuer à son tour. Il suffit d'un rien pour être infecté. Tellement peu que cela en est effrayant.

- Bonjour.

<< Salut. >> Le genre humain l'étonnera toujours. Elle vient de tuer et elle dit bonjour. Pourquoi pas.




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